Chute de cheveux : Pourquoi? Les causes externes
Aprrès avoir expliqué les causes internes dans le précédent article, ci dessous les causes externes
Quant aux causes externes, elles peuvent être nombreuses, il faut les identifier et les corriger :
Le stress : qu’il soit contextuel (surcharge de travail, difficultés sociales, sentimentales, choc émotionnel…), ou structurel (nature anxieuse, état dépressif) va provoquer des réactions en chaine dans notre organisme qui, auront un impact négatif sur notre état de santé et, tout particulièrement sur la bonne évolution de nos cheveux.
L’alimentation : même si cela peut nous paraître évident, nous ignorons trop souvent le lien direct qui existe entre notre alimentation, notre système digestif et la bonne évolution de nos cheveux ! Les carences en fer et en vitamines par exemple, accentuent la perte de cheveux. Il est très important de respecter un équilibre dans notre organisme et, pour ce faire, d’entretenir une alimentation saine et variée. Il est utile d’avoir connaissance des aliments favorisant le maintien de cet équilibre, déterminant pour notre bonne santé en général, et tout particulièrement pour nos cheveux.
Les techniques de coiffages dites agressives, les produits capillaires inadaptés: (plaques à lisser, brushings intensifs, lissage brésilien, tresses, rajouts, colorations ou décolorations chimiques, méchages, permanentes intensives, shampoings inadaptés…), les personnes qui en abusent abîment le cheveu et sa racine ou tige capillaire. La chute est alors plus rapide, la structure du cheveu fragilisée, l’équilibre du film hydrolipidique protégeant le cuir chevelu est perturbé, cheveux cassants, secs…, la liste est longue !
Le changement de saison : à certaines périodes de l’année, particulièrement au printemps et à l’automne, cette chute quotidienne normale peut se manifester de manière plus prononcée et, dépasser ce seuil critique de 100 cheveux par jour.
On parle alors d’une chute saisonnière que l’on pourrait également apparenter à une phase télogene trop importante, en réaction à un changement climatique. Tout comme après une naissance, ce phénomène doit normalement se réguler au bout de trois semaines à deux mois. S’il perdure, il est fortement conseiller de consulter un capidermologue.
L’alopécie médicamenteuse : certains traitements médicaux ou médicaments peuvent être à l’origine d’une alopécie ou y contribuer fortement. La chute des cheveux est alors liée aux effets secondaires de ces derniers. L’exemple le plus probant étant la chimiothérapie.
Certains médicaments de la famille des antidépresseurs tout comme certains moyens de contraception peuvent avoir de effets secondaires importants sur l’état capillaire. Généralement, la chute de cheveux est inscrite dans la liste des effets secondaires pouvant apparaître suite à la prise de certains médicaments. L’objectif n’est pas d’arrêter un traitement sous prétexte qu’il provoque une chute de cheveux importante, mais d’en être informé pour mieux comprendre les raisons de cette chute et de mettre en œuvre un programme de soin capillaire adapté pour, si possible, réguler au mieux ces effets secondaires.
Lorsque le traitement sera terminé l’accompagnement éclairé du capidermologue, permettra de trouver les meilleures solutions pour pallier à l’absence de cheveux, à optimiser la repousse, ou obtenir une correction en cas de perte de densité.
Le stress : qu’il soit contextuel (surcharge de travail, difficultés sociales, sentimentales, choc émotionnel…), ou structurel (nature anxieuse, état dépressif) va provoquer des réactions en chaine dans notre organisme qui, auront un impact négatif sur notre état de santé et, tout particulièrement sur la bonne évolution de nos cheveux.
L’alimentation : même si cela peut nous paraître évident, nous ignorons trop souvent le lien direct qui existe entre notre alimentation, notre système digestif et la bonne évolution de nos cheveux ! Les carences en fer et en vitamines par exemple, accentuent la perte de cheveux. Il est très important de respecter un équilibre dans notre organisme et, pour ce faire, d’entretenir une alimentation saine et variée. Il est utile d’avoir connaissance des aliments favorisant le maintien de cet équilibre, déterminant pour notre bonne santé en général, et tout particulièrement pour nos cheveux.
Les techniques de coiffages dites agressives, les produits capillaires inadaptés: (plaques à lisser, brushings intensifs, lissage brésilien, tresses, rajouts, colorations ou décolorations chimiques, méchages, permanentes intensives, shampoings inadaptés…), les personnes qui en abusent abîment le cheveu et sa racine ou tige capillaire. La chute est alors plus rapide, la structure du cheveu fragilisée, l’équilibre du film hydrolipidique protégeant le cuir chevelu est perturbé, cheveux cassants, secs…, la liste est longue !
Le changement de saison : à certaines périodes de l’année, particulièrement au printemps et à l’automne, cette chute quotidienne normale peut se manifester de manière plus prononcée et, dépasser ce seuil critique de 100 cheveux par jour.
On parle alors d’une chute saisonnière que l’on pourrait également apparenter à une phase télogene trop importante, en réaction à un changement climatique. Tout comme après une naissance, ce phénomène doit normalement se réguler au bout de trois semaines à deux mois. S’il perdure, il est fortement conseiller de consulter un capidermologue.
Il est utile de retenir que ces chutes saisonnières peuvent être anticipées et diminuées par des soins préventifs.
L’alopécie médicamenteuse : certains traitements médicaux ou médicaments peuvent être à l’origine d’une alopécie ou y contribuer fortement. La chute des cheveux est alors liée aux effets secondaires de ces derniers. L’exemple le plus probant étant la chimiothérapie.
Certains médicaments de la famille des antidépresseurs tout comme certains moyens de contraception peuvent avoir de effets secondaires importants sur l’état capillaire. Généralement, la chute de cheveux est inscrite dans la liste des effets secondaires pouvant apparaître suite à la prise de certains médicaments. L’objectif n’est pas d’arrêter un traitement sous prétexte qu’il provoque une chute de cheveux importante, mais d’en être informé pour mieux comprendre les raisons de cette chute et de mettre en œuvre un programme de soin capillaire adapté pour, si possible, réguler au mieux ces effets secondaires.
Lorsque le traitement sera terminé l’accompagnement éclairé du capidermologue, permettra de trouver les meilleures solutions pour pallier à l’absence de cheveux, à optimiser la repousse, ou obtenir une correction en cas de perte de densité.